5ième région de France par sa superficie et 6ième par son nombre d’habitants, le Grand Est affiche un PIB de 150 milliards d’euros, ce qui représente 7,1% de la richesse nationale.
Mais en immobilier comme économiquement, la région Grand Est présente de fortes disparités.
Dans le Grand est, le marché immobilier est certes très attractif, avec des prix en-deçà de la moyenne nationale (environ 1700 euros le m²), mais les écarts sont importants entre le Bas-Rhin, le Haut-Rhin, la Marne, où les prix sont plutôt élevés et la Meuse, la Haute-Marne et les Vosges, qui sont à la traîne.
Investir dans le Grand Est : un marché accessible
La situation géographique stratégique de la région attire de nombreux nouveaux arrivants, comme des touristes et des étudiants. Mais dans le Grand Est, le dynamisme du marché immobilier concerne essentiellement les grandes agglomérations. à Strasbourg, par exemple, ville européenne, étudiante et touristique, les prix de l’immobilier se négocient en moyenne à 3538 euros le m², avec un loyer moyen de 13 euros le m².
A Metz, le prix moyen est de 1856 euros le m², avec un loyer de 10 euros le m². Nancy, pour sa part, se situe entre les 2, puisque les prix de l’immobilier sont compris entre 1300 et 4500 euros le m², avec un loyer médian de 10 euros le m². À Colmar, il est encore possible de trouver des immeubles de rapport et des appartements dans l’ancien refaits à neuf pour des prix avoisinants les 2000 euros le m². En Meurthe-et-Moselle et en Moselle, les prix sont encore plus attractifs. Du côté de Luneville, les prix moyens oscillent entre 800 et 1900 euros le m². À Sarreguemines, ils s’affichent entre 700 et 1500 euros le m².
Pourquoi investir dans l’immobilier locatif en Bourgogne Franche-Comté ?
Plus bas, à l’ombre des massifs montagneux, se situe la Bourgogne Franche-Comté, avec un marché immobilier plutôt stable et un prix moyen de 1384 euros le m², pour un loyer de 10 euros le m².
Mais là aussi, des différences notables existent. Les villes les plus attractives sont Besançon et Dijon, qui séduisent de nombreux étudiants chaque année, 50 000 d’entre eux étant inscrits dans les universités de Franche-Comté, mais également de nombreux touristes, attirés par le passé historique et les traditions gastronomiques et viticoles entre autres des deux villes.
La crise sanitaire a également contribué à renforcer l’attractivité des deux villes, les citadins souhaitant de plus en plus se mettre au vert dans ces contrées. Ainsi, à Besançon comme à Dijon, les prix du m² se situent entre 2000 et 2700 euros, ce qui reste tout à fait abordable comparé au reste de la France.
Autre secteur intéressant en termes d’investissement immobilier locatif, la zone frontalière, avec Pontarlier, qui n’est pas non plus un territoire à négliger. Sa situation géographique lui permettant de proposer des prix certes plus bas que ceux du territoire national, mais très corrects pour la région.
D’autres villes de Franche-Comté peuvent être également très judicieuses pour un investissement immobilier locatif. Belfort, par exemple, qui accueille près de 6000 étudiants et festival des Eurockéennes affiche un prix moyen de 1234 euros le m². Pour Beaune, dont la renommée n’est plus à démontrer, compter un prix moyen encore raisonnable de 2151 euros le m².
Si le marché de l’immobilier en Franche-Comté a plutôt bien résisté à la crise sanitaire, en Bourgogne, c’est autre chose.
A Nevers, mais aussi à Auxerre ou Chalon-Sur-Saône, les prix moyens de l’immobilier ne dépassent pas les 1300 euros le m². Alors, si vous souhaitez investir dans le Grand Est Bourgogne Franche-Comté, tenez bien compte des disparité géographiques qui peuvent compliquer votre investissement immobilier. Pour vous aider dans votre projet d’investissement immobilier locatif, n’hésitez pas à prendre contact avec les mandataires de La Bonne Pierre Conseil, qui connaissent parfaitement le secteur et le marché locatif local.
